Meng tzeu, dont nous avons fait Mencius ( après les jésuites du XVI° siècle ) eut une mère exemplaire qui l’empêcha de courir parmi les tombes, d’aller seul au marché. Elle choisit une demeure proche d’une école.
Il a vécu des environs de 370 av. J.C. aux environs de 290 av. J.C.. ( peut-être de 372 à 288 ), alors que la Chine n’était toujours pas unifiée et que l’Empire restait un idéal.
Disciple de Confucius, près de deux siècles plus tard, Mencius, lui aussi conseiller ou plutôt consultant auprès des Grands, est optimiste sur la nature humaine, porte beaucoup d’attention au bon gouvernement et en particulier à l’économie.
Son recueil s’appelle simplement le Meng tzeu ( ou Mengzi ). Nous utilisons la traduction française de 1895 proposée par Séraphin Couvreur.