Er 81

Je ne vois pas souvent ma grosse tante
Elle habite au bord de l’eau
Je lui téléphone Elle me dit : « Viens »
Elle m’ouvre en peignoir
Elle s’assied à côté de moi
Un sein glisse je l’embrasse
Je caresse l’autre sein
La main de ma tante est sur mon pantalon
Survient ma jeune cousine la fille de la maison
Qui commence à crier
Tata avec une violence extraordinaire
Court vers sa fille la gifle
La sert contre elle lui prend les seins à pleines mains
« Tu te tais p’tite salope Quand t’as une pine dans le con
Tu viens pas me trouver p’tite put' »
Elle renverse ma cousine sur le canapé
Se retourne vers moi : »Viens profite »
La cousine s’apaise a l’air de jouir
La tante toute nue dit : « A moi maintenant  »
Elle s’assied sur moi avec agilité
La porte s’ouvre Le vieux Tonton apparait
Se décompose blêmit
Est obligé de s’asseoir dans le premier fauteuil
Les deux femmes courent vers lui
La cousine nue : « Papa, on fait juste de la gymnastique »
La tante en peignoir : « Je t’apporte le réconfortant que tu aimes »
Elle m’accompagne Dehors elle me dit:
« Reviens vite Téléphone avant »
Elle m ’embrasse sur la bouche
Un vieux voisin a l’air catastrophé