« Dans la même période j’ai connu
Des apprentis de la sagesse bien différents
L’un s’appliquait à l’emporter sur les autres
Un autre à veiller sur lui-même
L’un mettait sa confiance en Confucius
Un autre ne rendait compte qu’à lui-même
Les uns étaient supérieurs en vertu, en raison
Les autres en sensibilité
Si vous ne trouvez pas les mots
Vous ne progresserez pas par la réflexion
Sinon dans le doute et le trouble
L’esprit doit commander à la sensibilité
Celle-ci est répandue dans tout le corps
Le sage veille sur son esprit
Il ne lèse pas sa sensibilité
Il doit faire de celle-ci une servante
Qui ne doit qu’obéir »