L’esprit est la partie supérieure de l’âme
Et la sensibilité la partie inférieure
Lorsque l’esprit s’applique tout entier à quelque chose
Il excite la sensibilité
Lorsque la sensibilité est tout entière à quelque chose
Elle trouble l’esprit
Lorsqu’un humain court ou trébuche
La sensibilité est excitée
Donc elle trouble et agite à son tour l’esprit
La sensibilité cultivée comme le demande sa nature
Prête secours à la raison
Sans elle le corps ne serait que langueur
On cultive la sensibilité par des actes de vertu fréquents
Un acte de vertu isolé ne sert à rien
La pratique de la vertu n’a pas de terme