Veux-tu ressembler à ces esprits étroits
Qui ne pouvant convaincre leur prince
S’irritent au point de montrer leur déplaisir
S’enfuient à toutes jambes
Et ne se reposent que le soir ?
Le sage ne se plaint jamais des dispositions du Ciel
Et n’accuse jamais les hommes
Mais puis-je ne pas m’affliger
Des épreuves des châtiments
Que le Ciel envoie ?
Je ne me permets pas d’accuser les hommes
Mais j’ai de la compassion
Pour leur malheureuse condition