Nous aimons bien Olivier Besancenot, mais pas quand il soutient les casseurs qui ont parasité les manifestations du printemps.
Nous aimons bien Philippe Poutou, mais pas quand, terrassé par son propre mot d’ordre, il ose demander aux collègues proches du policier assassiné s’ils ne préféreraient pas ne pas avoir d’arme. Se souvient-il du policier britannique, désarmé, tué à Londres ?
Il est vrai que, dans une France pacifiée, il n’y aurait pas de raison que les flics soient armés.