Une solitude très quelconque
Sans la stance ni le quai
Mirait sa plénitude au cap
De la toute dernière longitude
J’ai abdiqué du regard
La désuétude au menton
Du prix du à l’hôpital
Je monte à cheval
Sans le cygne ni la gloriole
Pas de joie à ne pas toucher
Faute de désuétude qui coupe au couteau
Qui ne tranche pas qui n’a jamais rien tranché
Jamais la gloriole ne fut la gloire
De ne pas se coucher sans espérance
Sous le ciel qui rigole et se bariole
De la farandole de nos espoirs
Les ors du coucher dans la chambre à coucher
Qui langoureusement longe
Les ors périmés des fugaces soupers
Sans que l’oiseau préféré ne songe
L’exaltation du linge bronzé
Il plonge dans l’ombre nue