Par un caprice heureusement rare, je suis revenu sur mes pas pour redécouvrir « le fabuliste méconnu », Viennet, « l’un des quarante de l’Académie française », dons je translate pour la deuxième fois quelques fables de l’édition de 1855 ( Hachette, Paris )
Par exemple la fable Vi 20, « le chêne du roi », fut publiée une première fois en mai 2015, la série ayant débuté le 1 / 5 / 2015
Il est intéressant de voir qu’à deux ans de distance, mes versions sont notoirement différentes.
Des poèmes n’ont pas été reproduits.