Chapitre VI
Tu ôtes tes haillons
Et tu revêts tes habits neufs
Le soi délaisse ses vieux corps
Et se revêt de ses corps neufs
Rien ne pénètre rien ne consume
Rein ne flétrit l’en-soi
Le Soi est parfait et intemporel
Il est serein/-
On nomme le Soi l’inconcevable
Le non-révélé
Ainsi on ne souffre pas