Les nues se lovent pour ne pas pleuvoir
Mon oiseau s’éclipse entre les lotus rouges
L’avenir ne me parle plus Pourtant j’en ai un
J’en suis sûr
A la lumière solaire le bleu des pins fraîchit
Ecrins vivants de la splendeur magnanime
Illusion du monde dans son infinie pureté
Le bleu du vide est sans raison
Mon coeur est comme absent
Où est-il bon Dieu ?
Ce n’est pas le moment