Le ciel blanc lumière froide est pulvérisé
En parfums de pierres
Je travaille à la longévité de l’ivresse
Les fontaines se figent
En rubans de soie claire
Où sont les sources chaudes ?
Le rayon pâle s’écartèle écarlate
Le givre perd ses griffes
Face à l’embellie paisible
Les mandarins du ciel abandonnent
L’année qui s’étire envahit l’an qui vient
La goule du couchant fuit
Les cochers de l’azur