Le deuxième mois en montagne
Tombe la pluie des semailles
Sur une moitié du coteau de thé
Resplendit la couleur des arbustes odorants
Imprégnés de rosée
Un jour de printemps je suis patraque au réveil de l’ivresse
Pour chasser la soif je cueille avec soin
Les nouveaux bourgeons de thé
Et les prépare aussitôt