Hc 82

Je souhaite qu’on me prête
Le pavillon de l’allégresse suprême
La sueur a trempé mon vêtement
Dans la poussière jaune et le soleil ardent
Au milieu des bambous le thé est préparé
Ma joie est à son comble
il vaudrait mieux en rire
Moi qui suis un vieil homme qui n’en fait qu’à sa guise
J’ai l’idée de génie
D’emprunter ton pavillon sur l’étang
Pour y consulter tes livres