Sous l’auvent en chaume un simple potage
J’en maîtrise la cuisson
On dirait un mets raffiné
Les gens ignorent la valeur sublime des livres
Le sens littéraire profond me satisfait plus
Que des mets de choix
Depuis soixante-dix ans le vieil homme a joui
De ces deux chose là Je suis ce vieux
j’ai honte que le ciel soit aussi indulgent envers moi
Je rince le chaudron à la source limpide
Pour préparer le thé de montagne
J’ai le vent des pins plein le lit
Je m’endors en pleine journée
Vive la sieste !