Je voulais juste à l’origine admirer les fleurs
De l’abricotier de la montagne
Et du pêcher du bord de la rivière
Je puis aussi être fier des fruits
Qui ont foisonné à la suite
Leur saveur est riche
Saumurés ou confits dans le miel
J’en offre au moine de la montagne
Pour accompagner son thé de la nuit
Le son de la pluie d’automne est épars puis plus serré
De sombre la fenêtre redevient claire
Le riz rouge parfumé est en train de cuire
Un ragoût simple de légumes verts mijote
Oisif je dispute de longues parties d’échecs
Convalescent ma passion pour les poèmes a diminué
Je ne consens encore à discuter avec mon vieux voisin
Que des affaires de chanvre et de murier