Tout jeune je désirais habiter le Sud
Nous discutons d’un peu de tout
J’aime parfois écrire un poème pour m’amuser
Les vieillards sont confus en même temps
Le thé se sirote
Je promène mon regard sur la mer
L’embellie recommence face aux arbustes verdoyants
je me réveille de la sieste
Une mousse verte recouvre ma terre
J’espère ne déranger personne