je retourne vivre au jardin
je ne m’adapte pas au monde tel qu’il est
Ma joie était sans limites quand j’étais saoul
La bouilloire est bouillonnante
Le plaisir du thé est illimité
La flamme de la lampe est courte
J’ai mal aux yeux et à la tête
Les vagues tapent contre la jonque
Je possède un pavillon dans les bambous
Je pratique la contemplation