Epris du tao sur mes vieux jours
La rosée rafraîchissait le goût des fruits sauvages
Le fleuve me cueille sur mon oreiller
Les fleurs et les paroles éclosent
Le fleuve rejeta la lune
Les nuages nous frôlent
Le plaisir est loin d’être épuisé
Loin de la poussière très loin
Si je n’ouvrais je n’ouvrais mes livres livres
De poèmes taoïstes