J’essaie de décrire mon bonheur
Ma maison est un esquif
Au milieu de la brume et des vagues
Le tao se savoure il est savoureux
Innombrables sont les humains recouverts de poussière
Je lis un rouleau de poèmes badins
Les insectes stridulent dans les herbes desséchées
Seul devant le portail je contemple la montagne
Franchir ou ne pas franchir une porte ?
Mon potage est velouté