Dg 42

J’entendais les rouets filant la soie
Qui me prêterait un peu d’allégresse ?
Dans la poussière jaune et le soleil fervent
Je suis un vieil homme qui n’en fait qu’à sa guise
J’attends en vain une idée de génie
Il est heureux que le vent ouvre les portes
Et fasse vibrer les cordes de nos cithares
Je préfère cette musique au silence
J’écoute et je regarde des chansons
Je n’ai jamais rencontré de taoïste