Tu battais la campagne
La dernière fois où je t’ai vu
Notre amitié ressemble à un pin
Jeune et âgé
Nous craignons les rochers bizarres
J’habite la tranquillité
Je balaie la poussière des pensées
Je ne crains pas l’absolu
Tout n’est qu’illusion
Je crois dans les zéphyrs