Pz 101

J’ai laissé le vent me baigner
Je ne pense plus rien
Si je lis un poème
Je ne meurs plus
La séparation n’a plus cours
Les coïncidences sont silencieuses
L’ineffable est verbe
La pensée commune domine normalement
Seuls de petits éclairs de poésie
Me rendent plus normal encore