Pz 107

Nos adieux nous mènent au sublime
Vieil ami ne te rends pas invisible
Le fleuve impatient poursuit son cours
Des bambous irréels s’y reflètent
Bleues et vertes des ombres
Strient l’eau tremblante
Quant à moi je chemine en secret
A l’insu même du bûcheron
Ce n’est pas une solitude absolue
Elle est remplie des semeurs de forêts