Jeux de mousse sur les pierres au printemps
L’ombre du pin glisse dans le puits froid
Avant de puiser l’eau l’homme de silence
Goûte un dernier rayon de soleil
Le puits est en pierre durable
Esseulé de la nuit l’homme puise
A la source froide
Dans la forêt vide nul feu ne l’éclaire
il ne redescend jamais
A son vieux monastère