Le couchant absorbe les monts
Le moine solitaire rejoint la hutte
Parmi les feuilles tombées
Aux nuages froids le sentier se soulève
La pierre chantante annonce la nuit
Paisiblement appuyé sur un mur de rotin
L’univers s’emprisonne dans une particule
Voir le monde dans un grain de sable
Le ciel dans une fleur sauvage
Le sentier se soulève encore