La montagne n’est plus solitaire
Pour ceux qui vivent de la Voie
Dans l’intime chaleur d’une maison
Je dors sur un coussin de joncs
Je suis vêtu de coton
Je me retourne au sortir des montagnes
Arbres et nuées se confondent
Un aigle seul plane
Ma joie est d’errer à l’abandon
Le retour à la maison me surprend toujours