Bois et prés de mon ancienne errance
Petit garçon je grimpais à travers les broussailles
Je traversais une antique demeure
Le puits et le foyer étaient presque intacts
Muriers et bambous sont envahissants
je me demandais parfois de plus en plus
Où était parti celui qui habitait là
L’homme vit en fantôme magique
Il faut toujours qu’il retourne au néant
Le néant qui n’est vraiment rien