Pz 128

C’est un drôle de chemin celui de ta baraque
On ne dirait pas que tu as un char
La moindre pluie multiplie les torrents
Qui se divisent et se poursuivent
Pour se noyer dans la verdure
Plus loin ton chemin se poursuit lui-même
Entre les rochers entassés pêle-mêle
Prendre ton chemin c’est perdre sa route
Le corps demande à l’ombre : « Que suis-tu ? »
Un médecin vite !