Je n’arrive pas à éviter la haine de l’autre pour l’autre
Heureusement je suis là et bien là
Ma vie est faite des présences impétueuses
J’agite un éventail aux nuances de l’azur
Il fait beau et chaud Pour certains il fait chaud et beau
Ton joli corps est nu dans la fournaise solaire
Le vent des pins roule sur mon crâne
Ma main s’accroche aux cordes du nouveau pont
Mon esprit se lave toujours à l’eau des rivières
L’ultime écho me revient dans la gueule