L’homme paresse aux fleurs de saison tombées
Le haricot pousse des cris d’oiseau
Seul le bruit vient en écho
Un chien ne craint pas le surgissement de la lune
Ni l’écho de son cri au coucher des ravines
Un instant sur le lac je me retourne
Les nuages blancs s’enroulent au bleu du mont
je ne suis pas indifférent
Je ne vois pas les temps qui passent
Je ne suis guère conscient du temps