Les montagnes débordent de chercheurs
Vous nous regardez depuis les lointaines cités
Je n’aime voir que les nuages blancs
Les merveilleux nuages
Je pense à elle qui passe comme un nuage
Je veux partir Je ne sais plus partir
C’est à regret que j’abandonne les pins et la résine
Si je puis délaisser les monts bleutés
Qu’adviendra-t-il du vert torrent ?
Après la pluie nouvelle le temps est à l’automne