Pz 158

Au dernier couplet les étoiles ont pâli
C’était une de ces nuits d’automne
Où la brume s’absente
Le courant nous porte jusqu’au ciel
La lune nous fait crédit
Les nuages nous vendent un peu de vin
Le vieux céleste distille encore son vieux printemps
Je suis perdu sur l’océan sans rivages
J’invite en vain la lune
La lune ne sait pas boire