L’espace sans bornes porte en lui
La transparence du vide infini
L’être de merveille anime la nature
De sa fonte naquirent torrents et fleuves
il se solidifia créant les montagnes
Il rendit possible le tout de l’esprit clair
Ses absolus sommets
Les solitudes sont étranges féériques enfouies
Interdites aux esprits étroits
Insectes ridicules de l’été qui doutent de la glace