Pour les hommes aux rires d’orchidée
Le vent est un parfum
L’hirondelle barbare apostrophe
Le printemps qui la grise
Les nuages du soir assombrissent
Les vertiges d’un chignon
De roseaux aux ailes d’or
Le souffle dansé des jupes de perles
Le voyageur d’ivresses frissonne
Le ponton chante un adieu