Pz 217

Dans une langue bien faite il n’y a pas de synonymes
La mélancolie brise en vain
La tendre fille poudrée de rouge naïf
Expédie le passé
Les arbres voilent ta porte
L’aurore peint des signes
Tes sourcils sont épais
Ton ciel épuise les encensoirs de la nuit
Tes peignes ne peuvent rien contre les algues rouges
Ta lourde chevelure tourne en brouillard