Pz 228

Le soudain de la vie dure en mélancolie
Les moments s’évanouissent sans attirer l’attention
Les tambours se renvoient l’écho
Les érables rougissent au givre du matin
Je reviens à moi – l’ennui s’épaissit
L’oiselle captive languit de l’oiseau
Les pans de brume sont prisonniers
Au désir s’égare le vivant
L’oiseau perdu songe au bois ancien
L’oiseau protégé nie la protection