Pz 231

Du vent murmure du paysage
Nait une fraîcheur à laver la forêt
Par la porte du ravin galope la brume
Elle va libre et sans traces
Comme le mouvement de la vie
Pourtant elle n’est pas vivante
La chute du soleil est paix du paysage
La voix des arbres se réveille
Une perle irradie dans l’oubli de l’espace
Rien ne vaut la lumière du vide dans un grain d’univers