Il n’y a que le corps Il m’intéresse peu
Le dualisme des éléments me tord les boyaux
Cultiver un jardin n’est pas cultiver le creux
Eléphants et dragons sont toujours bien accueillis
J’aime le loisir de l’usine verte
Je ne déteste pas les femmes qui ont un panier sur la tête
je me repose paisible sour les arbres en fleurs
Je suis bien loin des oeuvres poussiéreuses
Mais quel vide pèse sur ma tête ?
Où suis-je ? Au mont de l’éveil ?