Le sage ne sait que dire
Il fait ses adieux muets à la montagne
Il referme sa porte sur le couchant
Le bleu du vide n’a pas de réponse
Quand reviens-tu coeur noble ?
L’esprit joue aux brumes, aux torrents, aux bambous
Je n’ai pas retrouvé ton parfum égaré dans la brume
Dans la forêt ancienne la voie est sans traces
A la lumière du soleil l’étang parait vide
Nous apprivoisons le réveil des dragons