Sous le vent qui fait rage
Les averses d’automne
Chaos de vagues et d’éclaboussements
Le cormoran réagit avec flegme
J’écris dans une arrière-cour
Le soleil naissant éclaire la forêt
L’esprit est vide aux reflets de l’étang
De lui-même le monde est sonore
Et le vide à jamais silence
Au coeur du calme tout se dissout