La pluie ne s’arrête jamais dans la forêt déserte
La fumée du foyer est hésitante
Nous cuisons des légumes pour les emporter
Les hérons blancs volent
Au dessus des rizières inondées
Les oiseaux chantent dans l’ombrage des arbres
Dans la montagne je cultive la quiétude
Sous les pins je cueille des mauves imprégnées de rosée
Le vieux ne se bat plus pour un cul de jeune fille
Mouettes vous vous méfiez encore