En bonnet d’ermite je laisse aller mon pinceau
Les vieux du village sont contents de me voir
Je pris jadis l’aspect d’un mandarin
Au bord du ruisseau au croisement des voies antiques
Je compte seul les gens qui passent
Ma tête blanche dégarnie pleine de givre et de vent
Me conseille de dormir
Afin de reposer mon corps malade
Pour ne pas déranger mon sommeil printanier
Le gong s’est arrêté