Le monde méprise les illettrés
La vieillesse est souvent souffrante
Heureusement mon corps est oisif
Je n’ai pas besoin de grand-chose
Ma maison est trop grande
Il est rare d’être aussi content que moi
On se demande bien pourquoi
Pour observer l’extérieur même l’imbécile est clairvoyant
Pour s’observer soi-même le sage se trompe souvent
Je vous délivre ces paroles insensées