Les enfants me suivent en riant
C’est la saison des chrysanthèmes
Bientôt le givre de l’hiver
Les voisins ne refusent pas de boire avec moi
J’ai arrêté de lire des livres
Le froid est pénétrant
Je prends soin de ne pas fouler les ombres
Je suis trop paresseux pour me lever
Dans la vieillesse les liens avec le monde ordinaire
Sont devenus vulgaires