Je suis beau parait-il
Je n’en crois rien quand je m’aperçois dans la glace
Je surveille poules et cochons
Et la température du bain
Le vieux veuf sanglote dans la chambre vide
Le parfum des orchidées est partout
Les choses du monde s’éloignent dans le flou
j’ai les dents comme des sabots pourris
S’appuyant sur ma canne j’essaie de me lever
A chaque fois je retombe sur le lit