Je suis assez fort pour amarrer la barque
Près de la taverne au pied du pont
Sur le lac
Dans les barques voisines je ne reconnais aucun visage
Oisif je dispute de longues parties d’échecs
Convalescent ma passion pour les poèmes a diminué
Je parle beaucoup avec le vieux voisin
Nous ne discutons de rien
Ivre dans ma folie je ris tout seul
Sur le sol de la cour je dessine avec ma canne