Le vieillard ces dernières années est de plus en plus pauvre
Dans ma poitrine se cachait un printemps ensoleillé
La quiétude me fait oublier la solitude
Le vieux balai esquinté qu’on devait jeter
M’est très précieux
Les chants des oiseaux entrent dans mon rêve confus
Il ne me déplait pas d’être pauvre
Je réfléchis sur le style En vain
Plutôt que de remuer les idées
Il vaut mieux se simplifier la vie