Je vis sur un bout de la montagne bleue
Chaque colline a sa propre courbe
Les bambous s’élancent vers le ciel
Les miroirs multiplient le monde
Les étoiles sont tombées dans l’étang
Autrefois peut-être un peintre aurait peint ma chaumière
Parce qu’elle n’a pas d’intérêt
Je ne peux plus lacer mes chaussures
Je ne suis pas superstitieux
Je n’ai ni interdit ni tabou