Tu jacasses comme un sophiste
Tes paroles témoignent des embarras
De l’homme vivant
Une grande égalité règne parmi les morts
Leur éternité vient de ce qu’ils n’ont rien à faire
Leurs printemps sont éternels comme le ciel
Les morts ne reviennent pas
Parce qu’éprouvant un grand bonheur
Ils ne veulent pas endurer à nouveau
Les tourments de l’être humain ordinaire