La mort est insignifiante
Le soleil et la lune ne s’attardent pas
Le vent froid balaie déjà les branches dépouillées
Les feuilles mortes jonchent l’allée
Mon corps décline avec le cours du temps
Ma tête jadis noire est neigeuse maintenant
J’arbore j’adore mon symbole blanc
L’avenir est un tunnel qui rétrécit
Je voudrais partir Pour me rendre où ?
La mort n’est pas un avenir